Quelques mots ...
"La poésie est une pensée dans une image" ...

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Date de création : 18.07.2010
Dernière mise à jour : 20.07.2010
20 articles


Bonjour

Publié le 20/07/2010 à 12:28 par jollyne
Bonjour

 

 

"La poésie est une pensée dans une image" ...aussi, je dépose ici mes mots, mes pensées, mes états d'âme ...comme une caresse empreinte de douceur sur le sable chaud de mes rêves ...vous invitant à plonger avec moi hors du temps dans le coeur du jardin de mes souvenirs.


Jocelyne

Petit pays sage

Publié le 20/07/2010 à 12:08 par jollyne
Petit pays sage

 

Petit pays sage

Aux couleurs de l'automne de la vie ...

L'ironie de tes couleurs flamboyantes

N'a pas éteint la couleur chatoyante

De nos coeurs épris ... de la chaleur de la vie.


Le grand paysage du printemps exubérant

Nous sourit et nous attend...

Il nous murmure dans un souffle des vents ...

D'ouvrir la fenêtre ...

Le soleil caressant nous attend !

A travers

Publié le 20/07/2010 à 12:05 par jollyne
A travers

 

A travers l'opaline de ton coeur si tendre,

Je veux désormais y voir se répandre

Tous les mots des doux amoureux

En une myriade de voyelles étoilées et bleues.

 

A l'unisson, nous irons tous deux suspendre

Au murmure des vents, tous nos aveux,

Tous nos mots bleus, nos mots d'amoureux.

Ton silence

Publié le 20/07/2010 à 11:39 par jollyne
Ton silence

Ton silence, émotion retenue

Jusqu'à plus,

Quelques mots échappés s'écoulent

Rouge cerises sur tes lèvres fermées.

 

Soudain, plus rien ... aucun son ...

Le bord du vide qui engouffre,

Le silence, la souffrance,

Comme offrandes perdues.

 

La peur de ma douce heure réalité

Qui perçoit la sensibilité

De l'homme tendre, amande, ému.

 

Tes mots emprisonnés dans mon âme meurtrie.

Tes mots non délivrés à l'infinitude,

S'égarent dans des couloirs sombres,

En mots étalés sur le jardin poésie

En marmelade orange, amande, abricot.

L'arbre et l'enfant, matin d'eau

Publié le 20/07/2010 à 11:27 par jollyne
L'arbre et l'enfant, matin d'eau

Feuilles douces frissonnent sur l'arbre vert, nonchalant

et ignorant des tourments,

Tournés vers quelque ciel gris de quelque folie,

Il défie l'espace imprévu de l'infini mêlé à l'âme du temps.

 

Le regard de l'enfant meurtri parle,

L'âme de l'enfant vit et crie.

 

Quelque matin,

L'espace du temps et du rêve, traverse les airs

transparents, mutants,

Saisit la main de l'enfant bleui.

Le vent les conduit dans la lumière de ce matin d'eau.

La noblesse du temps

Publié le 20/07/2010 à 11:23 par jollyne
La noblesse du temps

Je sais des océans de tendresse

envolée dans l'infini.

 

L'âme chagrin demeure

douceur.

 

Le vent la portera sur le sable neige mouillé

piétiné par les petits pieds des enfants innocents.

 

L'espace grandeur est la candeur,

Et le temps est sa noblesse.

L'outrage des années

Publié le 20/07/2010 à 11:14 par jollyne
L'outrage des années

L'outrage des années est parfumé

Du nom de la rose, point morose,

Auréolée de la douce tendresse

De nos coeurs usés mais en liesse.

 

Soupirs de nos intenses désirs

Point oubliés, juste pour le plaisir

De douces soirées, emmitouflés,

Dans les draps de satin de notre destin.

 

Rires et sourires,

Désirs et soupirs ...

L'outrage des années n'a rien fait oublier ...

Tes yeux gris dans la nuit

Publié le 20/07/2010 à 10:53 par jollyne
Tes yeux gris dans la nuit

Tes yeux gris sombres me capturent,

Ton amour défie tous mes supplices,

Qu'importe, au pays des rêves et des délices,

Le torrent des doux mots de l'amour,

Inexorablement, poursuit la marche du temps.

 

Je voyage dans un monde iréel

A la musique de troublants baisers,

Je chavire dans des rêves fous,

Tu me murmures que tu vas sombrer.

 

Tes doigts délicats effleurent ma peau.

Oubliés alors les mille mots,

Je te couvre de tendres baisers,

Oh, douces faiblesses, chaudes caresses.

 

Sur la rondeur de satin de mon sein,

La douceur de tes lèvres m'enivre,

Yeux fermés, ta tendresse m'emporte à la porte

Des délices de mon torrent de plaisir,

Et l'univers du fluide brûlant de ton elixir.

 

Chaque soir, un peu plus fort, inexorablement,

Tes yeux gris sombres dans la nuit,

Me capturent.

Sous le vieux tilleul

Publié le 20/07/2010 à 10:37 par jollyne
Sous le vieux tilleul

Sous le vieux tilleul,

Dans la cour de la maison,

Chien tapi à ses pieds,

Le grand-père égraine

ses chapelets de haricots secs.

 

Les mains noueuses et habiles

les font craquer de volupté,

telles grenouilles de bénitier,

au son des cantiques.

 

Les tintements de la cloche

de l'église toute proche,

lui font songer au temps jadis,

où l'enfant de choeur farceur

buvait le vin du curé.

Jour de neige

Publié le 20/07/2010 à 03:16 par jollyne
Jour de neige

 

Le feu crépite dans la cheminée.

 

Le ciel gris rose s'étire en coton bleu

et longues traînées à l'horizon.

 

Seul le chien, sur les dalles de pierre,

à moitié cuit, soupire d'aise

de cette douce intimité.

 

Le silence, ponctué du tic-tac

de l'horloge m'interroge.

 

Où sont les rires d'antan ?