Quelques mots ...
"La poésie est une pensée dans une image" ...
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Rechercher Derniers commentairesc'est un pur delice d'elixir et c'est empli de douceur on aimerait s'y noyer et ne faire qu'un avec ce poeme
Par courboulay, le 31.10.2012
des mots doux, des mots bleus, gris, or ou roux, des mots d'amour, des mots d'espoir ou de désespoir, tous les
Par Dany, le 20.09.2012
trop beau que de charme et de reve je l'offre a l'homme que j'aime
Par saliou, le 12.05.2012
coment ne pas vibrer aimer tous ces mots qui répondent à nos rêves.
conti *** à nous faire rêver. merci.
jos
Par damcette, le 14.10.2011
merci pour la douceur de tes mots, merci de m'avoir permis de partager ton univers
Par Anonyme, le 22.09.2011
· Tes yeux gris dans la nuit
· Bonjour
· P'tit coeur fané
· L'outrage des années
· Le bris des mots noirs
· Les étoiles filantes
· La noblesse du temps
· Sérénité
· Rêverie
· L'arbre et l'enfant, matin d'eau
· Le cri
· Petit pays sage
· A travers
· Ton silence
· La vieille et le clochard
Date de création : 18.07.2010
Dernière mise à jour :
20.07.2010
20 articles
"La poésie est une pensée dans une image" ...aussi, je dépose ici mes mots, mes pensées, mes états d'âme ...comme une caresse empreinte de douceur sur le sable chaud de mes rêves ...vous invitant à plonger avec moi hors du temps dans le coeur du jardin de mes souvenirs.
Jocelyne
Petit pays sage
Aux couleurs de l'automne de la vie ...
L'ironie de tes couleurs flamboyantes
N'a pas éteint la couleur chatoyante
De nos coeurs épris ... de la chaleur de la vie.
Le grand paysage du printemps exubérant
Nous sourit et nous attend...
Il nous murmure dans un souffle des vents ...
D'ouvrir la fenêtre ...
Le soleil caressant nous attend !
A travers l'opaline de ton coeur si tendre,
Je veux désormais y voir se répandre
Tous les mots des doux amoureux
En une myriade de voyelles étoilées et bleues.
A l'unisson, nous irons tous deux suspendre
Au murmure des vents, tous nos aveux,
Tous nos mots bleus, nos mots d'amoureux.
Ton silence, émotion retenue
Jusqu'à plus,
Quelques mots échappés s'écoulent
Rouge cerises sur tes lèvres fermées.
Soudain, plus rien ... aucun son ...
Le bord du vide qui engouffre,
Le silence, la souffrance,
Comme offrandes perdues.
La peur de ma douce heure réalité
Qui perçoit la sensibilité
De l'homme tendre, amande, ému.
Tes mots emprisonnés dans mon âme meurtrie.
Tes mots non délivrés à l'infinitude,
S'égarent dans des couloirs sombres,
En mots étalés sur le jardin poésie
En marmelade orange, amande, abricot.
Feuilles douces frissonnent sur l'arbre vert, nonchalant
et ignorant des tourments,
Tournés vers quelque ciel gris de quelque folie,
Il défie l'espace imprévu de l'infini mêlé à l'âme du temps.
Le regard de l'enfant meurtri parle,
L'âme de l'enfant vit et crie.
Quelque matin,
L'espace du temps et du rêve, traverse les airs
transparents, mutants,
Saisit la main de l'enfant bleui.
Le vent les conduit dans la lumière de ce matin d'eau.
Je sais des océans de tendresse
envolée dans l'infini.
L'âme chagrin demeure
douceur.
Le vent la portera sur le sable neige mouillé
piétiné par les petits pieds des enfants innocents.
L'espace grandeur est la candeur,
Et le temps est sa noblesse.
L'outrage des années est parfumé
Du nom de la rose, point morose,
Auréolée de la douce tendresse
De nos coeurs usés mais en liesse.
Soupirs de nos intenses désirs
Point oubliés, juste pour le plaisir
De douces soirées, emmitouflés,
Dans les draps de satin de notre destin.
Rires et sourires,
Désirs et soupirs ...
L'outrage des années n'a rien fait oublier ...
Tes yeux gris sombres me capturent,
Ton amour défie tous mes supplices,
Qu'importe, au pays des rêves et des délices,
Le torrent des doux mots de l'amour,
Inexorablement, poursuit la marche du temps.
Je voyage dans un monde iréel
A la musique de troublants baisers,
Je chavire dans des rêves fous,
Tu me murmures que tu vas sombrer.
Tes doigts délicats effleurent ma peau.
Oubliés alors les mille mots,
Je te couvre de tendres baisers,
Oh, douces faiblesses, chaudes caresses.
Sur la rondeur de satin de mon sein,
La douceur de tes lèvres m'enivre,
Yeux fermés, ta tendresse m'emporte à la porte
Des délices de mon torrent de plaisir,
Et l'univers du fluide brûlant de ton elixir.
Chaque soir, un peu plus fort, inexorablement,
Tes yeux gris sombres dans la nuit,
Me capturent.
Sous le vieux tilleul,
Dans la cour de la maison,
Chien tapi à ses pieds,
Le grand-père égraine
ses chapelets de haricots secs.
Les mains noueuses et habiles
les font craquer de volupté,
telles grenouilles de bénitier,
au son des cantiques.
Les tintements de la cloche
de l'église toute proche,
lui font songer au temps jadis,
où l'enfant de choeur farceur
buvait le vin du curé.
Le feu crépite dans la cheminée.
Le ciel gris rose s'étire en coton bleu
et longues traînées à l'horizon.
Seul le chien, sur les dalles de pierre,
à moitié cuit, soupire d'aise
de cette douce intimité.
Le silence, ponctué du tic-tac
de l'horloge m'interroge.
Où sont les rires d'antan ?